Dans l’ordre : intelligences verbo linguistique, interpersonnelle, intrapersonnelle, naturaliste, musicale et kinesthésique.
Et la théorie n’en est pas une en réalité, c’est du bon sens. J’ai eu l’occasion de regarder beaucoup d’émissions, d’accumuler quelques lectures sur le sujet ainsi que des observations personnelles et ça n’a rien de loufoque. Chaque personne développe plusieurs types d’intelligence de façon plus ou moins importante en fonction de ses besoins et de son environnement. Pour peu que l’on soit attentifs et ouverts, tout a une explication rationnelle. Je sais d’où me vient chaque capacité, je sais aussi pourquoi j’ai eu besoin de développer telle ou telle chose à un moment ou un autre de mon existence et je sais aussi quelles sont celles qui me feront défaut un jour ou un autre si je ne les développe pas plus. Le plus excitant, c’est que rien n’est fixe. On peut tout aussi bien gagner en intelligence que perdre.
A suivre…

C’est n’importe quoi, vous confondez l’intelligence avec la culture, la connaissance et les compétences.
C’est pas parce qu’un mec ne sait rien foutre qu’il est con. Le con, qui est normalement l’inverse de l’intelligent, et aussi l’inverse du maladroit, car le con fait exprès de nuire et de faire des erreurs. Le maladroit, lui non, et en ca il est pardonnable et mérite qu’on lui donne la chance de se rattraper. Le con se fout de la gueule du monde, le maladroit fait des erreurs. C’est toute la nuance. Et la personne intelligente, qui elle est l’inverse du con, mais qui est aussi comme tout être vivant un peu maladroit (on peut tous faire des erreurs involontairement, par moment), c’est l’homme qui ultimement, à déjà compris avant la situation. C’est aussi l’homme qui a compris l’autre. Et qui assimile à la fois une sagesse, une empathie, et à la fois, une ambition et une tâche énorme, non pas que pour lui, mais aussi pour les autres (et qui le sait déjà lui-même, uniquement pour ceux qui le méritent, et non le contraire), le tout, sans renier de pouvoir en arriver à certains extrêmes pour accomplir sa ou ses tâches dans un intérêt commun (car l’homme intelligent, reconnait d’évidence, que l’humain ne peut pas penser qu’à lui et se contenter de lui-même, car il ce n’est pas dans sa nature, ce n’est pas comme ça qu’il a survécu en des siècles d’existence). L’homme intelligent, prend tout en compte, et tente selon ses capacités, de rallier les causes de chacun sans renier de devoir dégager les plus nuisibles (pas parce qu’il ne les aiment pas, mais parce qu’ils nuiront tôt ou tard, parce qu’ils sont mentalement et dans leur comportement vis-à-vis des sages et des justes, comme ils sont, et ça l’intelligent le sais déjà aussi d’avance et c’est pour ça qu’il sait tout et qu’il est efficace).

Un intelligent, c’est aussi un suicidaire qui a décidé de surmonter la dure étape de la souffrance pour rejoindre la mort, ayant compris d’une façon toute aussi évidente, que la vie ne sert à rien, et que quoi que l’on fasse, nous ne servons à rien, car le monde ne nous a pas attendu pour se faire et pour abrutir la masse, jusqu’à ce que cette masse d’imbéciles se contente d’être imbécile car elle a la liberté de le penser et de s’éstimer et vivre ainsi (la tolérance, mes chers, jusqu’à la tolérance des cons), et aussi que dans ce monde d’imbéciles, les intelligents sont désarmés (alors qu’ils sont plus utile que des imbéciles). =)
Car j’ai pour habitude de penser qu’il vaut mieux une classe de 3 élèves qui bossent, que de 20 élèves qui n’en foutent pas une (même si malheureusement il y a toujours un ou deux bons éléments dans le tas).